Un endroit tranquille, ou peut être pas

Il était mon master je devais être censé lui obéir. Mais pour l'instant je voulais jouer avec lui, je ne sais pas pourquoi j'étais comme contrôler par mon autre personnalité qui cherchait à jouer avec lui... enfin pas vraiment jouer dans le sens pervers mais plus dans le sens jouer « tiens c'est toi le chat » Je sentais des choses que les autres ne peuvent peu être pas sentir tout de suite. Comme le cerf qui est mort dans plus loin dans la forêt. Je voulais qu'il trouve sa femelle avant de mourir mais ce loup lui a ôté la vie... je devais donc le venger pas pour l'instant mais cela ne serait tarder. Je regardais Victor. Une boucle d'oreille c'est vrai que je devais en porter pou dire que j'appartiens bel et bien à Victor. Elle vit Victor lui mettre son collier, un collier rouge, qu'il devait aimer... d'après ce que je lisais dans ses pensés. Je sentis sa langue sur mon cou, cela me faisait frissonner puis il m'embrassa je sentis sa douce langue contre la mienne, je l'a tournais lentement au même rythme que la sienne. Je sentis sa main glisser sous ma robe et aller sur ma poitrine, je frissonnait encore, sa main passa prêt de ma cuisse, je frissonnai de plus belle. Est-ce que j'étais prête à avoir un rapport avec une personne et encore pire celui que j'aime le plus au monde...

-j'en prendrais soin de ton collier je te le promet... je ne veux pas le perdre je le garderais avec moi. ^^

il ferais ce que je désirais, j'ai envie de sentir ton corps contre moi. Je veux t'embrasser... et partager mon corps avec toi. Je te veux pour moi seule, je t'aime... je dis oui je veux avoir de plaisir avec toi et seulement toi.

-je suis prête, j'ai envie de le faire avec toi... tu as raison c'est ma première fois... je ne sais pas si... je vais accepter... j'ai peur de le faire maintenant... tout à l'heure cela ne me posait pas de problème de le faire avec toi.. et la je commence à avoir peur... je veux que tu sois doux mon amour

Je lui souriais, car j'avais tout de même lu dans ses pensées. Mais je ne savais pas pourquoi j'avais peur... est ce que j'étais réellement prête à le faire avec Victor... ou devrais-je attendre un peu. Après tout je le connaissais à peine... enfin depuis longtemps... mais je ne savais pas si il avait changé... je préfère attendre... un peu...

-Victor attends... j'ai réfléchis je ne peux pas le faire maintenant laisse moi le temps... tu sais je t'aime depuis si longtemps, mais tu était encore jeune... et tu as grandit et changé. Je ne connais pas encore tout de toi je préfère attendre le bon moment... je m'en excuse mon amour...

j'embrassais Victor tendrement, et j'avais quelques larmes qui coulaient le long de mes joues, je venais de lui refuser quelques choses... pourquoi j'ai dis non... je t'aime Victor, je veux partager ma vie avec toi... pour toujours...

Je lui plaisais sa ne fait plus aucun doute la dessus, et je ne peut mentir sur ce sujet, je l'aimais tellement... Elle pourrais me rendre fou en une seule phrase. Un Oui touche moi mon maître m'aurais fait monter au septième ciel en moins de temps qu'il n'en faut pour le dire, mon excitation au maximum. qui retomba à mon grand regret quand elle m'annonça clairement qu'elle ne voulais pas encore le faire... mais contre toute attente je sourit et m'excusa :

-Excuse moi tu est la seul chose que j'ai réellement aimer que se soit dans mon passé ou dans le présent, ici maintenant... je suis génner de dire sa me regarde pas comme ça. Et arrête de te préoccuper de lui.

En disant lui je montra d'un signe de tête l'endroit ou le cerf ce retrouvais avant, je l'embrassa une dernière fois, essuya ses larmes du pouces et me lève pour ensuite l'aider à se relever... Une idée me traversa l'esprit :

-Tu as cours dans la journée ou tu va dormir aussi ? si tu n'en à pas je te propose de venir dormir avec moi, et je dit bien dormir. ou sinon je t'attendrais dans ma chambre, le numéro est sur mon collier. Et tu n'a pas besoin de clé je t'ouvrirais moi même...

je lui prit la main et commença à me diriger vers l'établissement, elle trainait, je me retourne, la serre dans mes bras et l'interroge du regard...